Anne Roumanoff enlève le haut...

La plus rouge de nos comiques n'a pas hésité, le temps d'une courte séquence a nous dévoiler des charmes ma foi très appétissants...

La scène est tirée du téléfilm de Marc Rivière "Le censeur du lycée d'Epinal", tourné en 1996 avec, notamment, Jean-François Balmer, Patrick Chesnais, Laure Duthilleul et Sylvie Joly...

... Et les seins de Sophie Marceau...

Tout le monde se souvient bien sûr des débuts fracassants de la petite Sophie Marceau - 14 ans à l'époque - dans "La Boum" de Claude Pinoteau en 1980, aux côtés de Claude Brasseur, Brigitte Fossey et l'inoubliable Denise Grey...

4 ans plus tard, c'est Georges Lautner ("Les Tontons Flingueurs") qui lui offre ses premières scènes dévêtues au côté de Jean-Paul Belomondo dans "Joyeuse Pâques", d'après la célèbre pièce de Jean Poiret...

Sa première rencontre avec Andrzej Zulawski, qui deviendra son mari, c'est dans "L'Amour Braque", en 1985, avec entre autre Francis Huster, Tchéky Karyo et Jean-Marc Bory...

 En 1986, Sophie retrouve Pierre Brasseur - son papa de "La Boum" - dans le film de Francis Girod "Descente aux Enfers"... On retrouvait également au générique, Hippolyte Girardot, Betsy Blair et l'ex-Charlot Gérard Rinaldi...

1989... Sophie retrouve son mari Andrzej Zulawski pour le tournage de "Mes Nuit sont plus belles que vos Jours", film très noir qui raconte la passion entre Lucas (Jacques Dutronc) un informaticien condamné à brève échéance par un virus et Blanche (Sophie Marceau) une jeune médium.... Egalement à l'affiche, Valérie Lagrange, Myram Mézières et François Chaumette...

Sous la direction d'Alexandre Arcady, dans "Pour Sacha' en 1991,  elle interprète le rôle de Laura, une jeune française qui part vivre dans un kibboutz pour retrouver Sacha (Richard Berry) qui fut son professeur de philosophie...

 En 1993, Pascal Jardin met en scène "Fanfan", d'après son roman homonyme... Sophie y partage l'affiche avec Vincent Pérez, Marine Delterme, Gérard Séty et Micheline Presle...

En 1994, Sophie Marceau endosse le costume d'époque pour interpréter "La Fille de d'Artagnan" sous la direction de Bertrand Tavernier... Aux côtés de son "papa" Philippe Noiret, de Claude Rich, Sami Frey, Jean Luc Bideau et Nils Tavernier...

En 1996, Michelangelo Antonioni, aidé de Wim Wenders, fait appel à Sophie pour complèter la prestigieuse affiche de "Par-delà les Nuages"... En effet, on y retrouve, entre autre, Fanny Ardant, John Malkovich, Jean Reno, Irène Jacob, Chiara Caselli et Inés Sastre...

"Le Diable au Corps"... Celle par qui le scandale est arrivé...

En 1986, le réalisateur italien Marco Bellochio réalise une transposition très osée du célèbre roman de Raymond Radiguet, "Le Diable au Corps"...

Pour tenir le principal rôle féminin, il fait appel à la belle Maruschka Detmers, laquelle n'hésite pas à nous dévoiler généreusement ses charmes...

Mais la scène qui lui valu surtout les foudres de la censure et les honneurs de la presse people fut celle où elle pratique une fellation à son partenaire, le jeune acteur italien Federico Pitzalis...

A ceux qui crièrent au scandale à la vue du film, le cinéaste Marco Bellochio rétorqua que cette séquence était nécessaire pour expliciter la relation charnelle et fougueuse qui se noue entre les deux amants.. Maruschka Detmers, elle, se défendra en expliquant qu'elle aime jouer des rôles forts et extrêmes. A sa sortie en France, le film fut interdit aux moins de 12 ans.

"Mais ne nous délivrez pas du mal" le film choc de Joël Séria.

En 1970, Joël Séria réalise son premier long métrage, l'histoire de deux adolescentes, Anne (Jeanne Goupil) et Lore (Catherine Wagener). Elèves de seconde dans un pensionnat religieux et filles issues de la noblesse pour l'une, de la bourgeoisie pour l'autre, elles se nourrissent de lectures réprouvées par leurs professeurs et tiennent un journal des mauvaises actions qu'elles commettent.

Pendant les vacances d'été, laissées seules par leurs parents, elles vont se laisser aller aux pires exactions...

Pour preuve, lorsqu'elles décident  d'exciter un garçon de ferme un peu simplet, dans un champ ou d'empoisonner des oiseaux, de mettre le feu à une grange et d'organiser une messe noire...

Elles finiront même par inviter un automobiliste en panne (Bernard Dhéran) qu'elles tueront à coups de bûche après l'avoir aguiché...

Le film fut interdit à sa sortie, mais il lança les carrières de Joël Séria et de sa compagne Jeanne Goupil. On retrouve le couple, notamment dans "Charlie et ses deux nénettes", "Les galettes de Pont-Aven" et "Marie Poupée".

A noter deux excellentes critiques :

"Les Galettes de Pont Aven"... Un film très cul-te...

Ce film de Joël Séria, réalisé en 1975, raconte les aventures et péripéties de Henri Serin (Jean-Pierre Marielle), représentant en parapluies et peintre du dimanche très inspiré par les rondeurs postérieures féminines...

... allant jusqu'à croquer le postérieur de son épouse (Gisèle Grimm) pendant son sommeil. Laquelle épouse préférant d'ailleurs les étreintes amoureuses de son jeune amant...

De son côté, Henri Serin multiplie également les conquètes féminines rencontrées dans le cadre de son travail, comme par exemple, la plantureuse madame Licquois (Andréa Ferréol).

Installé à Pont Aven, Henri fait la connaissance d'Emile (Bernard Fresson) et de sa très belle compagne (Dolores Mc Donough). Entraîné dans une vie de débauche, Henri sombre dans l'alcoolisme.

Il devient très vite la risée du pays ainsi que d'Emile et ses amis lors de soirées très déshabillées...

Finalement il retrouvera l'amour et la joie de vivre dans les bras de Marie (Jeanne Goupil), la petite servante de son hôtel...

Comme le montrent ces photos, Gisèle Grimm, Andréa Ferréol, Dolores Mc Donough, Agnès Van Waerbeke et Jeanne Goupil nous rélèvent de biens jolis trésors tout au long de cette plaisante comédie.

Dominique Lavanant... Soeur Thérèse enlève le voile...

C'est vrai qu'à première vue, Dominique Lavanant n'est pas le type de comédienne que l'on s'attend à voir dans le plus simple appareil sur les écrans...

Et pourtant, celle qui a incarné Imogène et soeur Thérèse sur le petit écran, nous a gratifié de deux apparitions très dénudées au cours de sa longue carrière cinématographique...

Tout d'abord, en 1976, une courte apparition très remarquée dans le cultissime "Calmos" de Bertrand Blier. Film où figurent à l'affiche Jean-Pierre Marielle, Jean Rochefort et Brigitte Fossey...

Puis en 1977, Joël Séria, qui lui avait déjà offert le rôle de la prostituée bigoudène dans "Les Galettes de Pont-Aven", la pousse entre les bras de Jean-Pierre Marielle dans "Comme la Lune", où l'on retrouvait notamment Sophie Daumier et Marco Perrin...

Clotilde Courau... Quand la future princesse de Savoie nous dévoilait ses charmes...

Clotilde Courau a débuté à l'écran en 1990 dans le film de Jacques Doillon " le Petit Criminel", mais il lui faudra attendre 1995 pour connaître son premier vrai succès avec "Elisa" de Jean Becker, film dans lequel elle tient le rôle de Solange, la meilleure amie de Marie (Vanessa Paradis).

C'est dans "Fred" de Pierre Jolivet en 1997 que Clotilde nous offre ses premières scènes dénudées. Elle interprète le rôle de Lisa, la petite amie de Fred (Vincent Lindon).

(Fred, la trentaine, grutier qualifié, est au chômage. Sa compagne Lisa travaille dans un laboratoire d'analyses médicales. Elle soutient son homme, inactif malgré lui, de son amour, même si l'ambiance est de plus en plus pesante. Une nuit d'insomnie Fred entend un camion s'arrêter devant la maison de son ami Michel, chauffeur routier. Le lendemain, Michel lui propose de lui rendre service contre une mince rétribution. Il accepte de convoyer ce fameux camion dans un entrepôt. Sans le savoir, il vient de mettre le pied dans un engrenage.)

L'année suivante, Guillaume Nicloux lui offre le rôle de Cheryl, la petite amie coiffeuse de Gabriel Letourneur (Jean-Pierre Daroussin) alias "Le Poulpe". Ce très bon divertissement policier nous permet d'admirer Clotilde dans de nombreuses scènes très déshabillées, notamment lorsqu'elle manie le flingue en tenue d'Eve...

Les amateurs auront sûrement apprécié le gros-plan sur son pubis taillé en forme de coeur... La classe quoi !...

En 2000, c'est tout d'abord "En Face" de Mathias Ledoux, en compagnie de Jean-Hugues Anglade, Christine Boisson et José Garcia.

(Voilà sept ans que Jean et Michelle Doset s'aiment d'un amour indestructible. Michelle est vendeuse chez un fleuriste et Jean a du mal à écrire son deuxième roman. Les difficultés financières s'accumulent et cela fait deux mois qu'ils n'ont pas payé le loyer. Mais voilà qu'après des années de galère, leur voisin d'en face meurt et leur laisse son hôtel particulier en héritage, "Un don à la jeunesse et à l'amour" dit le testament. Un testament qui exige cependant qu'ils reprennent à leur service Clémence, la gouvernante. Celle-ci sera leur premier cauchemar. Ils la soupçonnent bientôt d'avoir tué le propriétaire. Mais la maison peu hospitalière contient encore bien d'autres cauchemars, tous plus effrayants les uns que les autres.)

Puis Clotilde intègre la troupe de jeunes comédiens attirés dans un mystérieux château dans "Promenons-nous dans les bois" de Lionel Delplanque. A noter, une très belle scène lesbienne entre Clotilde et Alexandra Strési.

Dans "Un Monde presque paisible" de Michel Deville en 2002, Clotilde nous gratifie d'une très jolie scène avec Stanislas Merhar.

Depuis son mariage avec le Prince Emmanuel de Savoie, Clotilde a tourné dans quelques téléfilms. On pourra également signaler son apparition dans "La Môme" d'Olivier Dahan en 2007.

A noter aussi "Polski Crash" (Mafia rouge à Varsovie), un téléfilm de Kaspar Heidelbach en 1993 (photo précédente...

... et "Milk" un film anglais de William Brookfield, tourné en 199 et inédit en France...