samedi 26 février 2011

"Happy Few"... Elodie et Marina échangent leurs mecs...

Happy Few : mot anglais signifiant "les quelques heureux"
Groupe restreint de privilégiés : "seuls les happy few assisteront à cette représentation"
Voilà... Vous en savez autant que moi sur la signification du titre de ce film d'Antony Cordier.
Antony Cordier qui, dans "Douches Froides" (César du meilleur premier film) en 2005 s'était attaqué aux problèmes de l'amour à trois (deux gars, une fille), nous conte ici les aventures amoureuses de deux couples : Franck et Rachel (Roschdy Zem et Marina Foïs) et Vincent et Tery (Nicolas Duvauchelle et Elodie Bouchez).


Rachel, qui travaille dans un magasin de bijoux, fait la connaissance de Vincent, concepteur de sites web... Le courant passe et Rachel invite à dîner Vincent et sa compagne Teri... Là, tout s'accélère. Franck tombe raide dingue de Teri et Rachel n'est pas du tout insensible au charme de Vincent...
Tout celà nous donne de bonnes scènes bien chaudes. Notamment cette séquence torride entre Marina Foïs et Nicolas Duvauchelle...



Avec en prime une très jolie scène entre filles...

Bref... De quoi voir et revoir cet excellent film... Merci à Antony Cordier et à Marina et Elodie qui mettent vraiment le paquet...

mercredi 23 février 2011

"L'été meurtrier"... Isabelle... On t'aime !...

Tout d'abord, pour ceux qui l'ignoreraient encore, "L'été meurtrier" est un roman de Sébastien Japrisot publié en 1978 et adapté au cinéma par Jean Becker en 1983.
Continuons donc. Sébastien Japrisot (de son vrai nom Jean-Baptiste Rossi) était un auteur (il est décédé en 2003) très courtisé par le cinéma. Outre Jean Becker, Costa-Gavras ("Compartiment Tueurs"), André Cayatte ("Piège pour Cendrillon"), Anatole Litvak ("La dame dans l'auto avec des lunettes et un fusil") et Jean-Pierre Jeunet ("Un long dimanche de fiançailles") ont adapté une de ses oeuvres à l'écran...
Mais revenons à "L'été Meurtrier"... En 1983 donc, Jean Becker, qui n'avait pas tourné depuis 1966 ("Tendre Voyou"), porte à l'écran cette fidèle adaptation du roman de Sébastien Japrisot. Au hasard de la distribution on reconnait les noms d'Alain Souchon, Michel Galabru, François Cluzet, Suzanne Flon ou encore Roger Carel, Jean Gaven et la toute jeune Maïwenn Le Besco... Mais celle qui éclate dans le rôle de "Elle", c'est bien sûr Isabelle Adjani... Débordante de beauté sauvage et de sensualité... Belle à tomber !...
Le film raconte l'histoire d'Eliane ("Elle"), une jeune fille née du viol de sa mère par trois camionneurs...
Afin de retrouver les violeurs, elle séduit Pin-Pon (Alain Souchon) dont elle soupçonne le père (décédé) de faire partie du trio... Elle ira jusqu'à épouser Pin-Pon, mais elle apprendra que son beau-père (Michel Galabru) qu'elle a rendu paralytique s'est déjà occupé de liquider les véritables violeurs. "Elle" sombre alors dans la folie et Pin-Pon, fou de douleur, ira abattre deux innocents qu'il croit coupable du viol...
Ai-je été assez clair ?...
Je ne pouvais pas passer à côté de ce film culte pour le mateur que je suis... Adjani y est tout simplement superbe... Et quel régal pour les yeux !...


jeudi 17 février 2011

Catherine Ringer... Quand Rita Mitsouko faisait dans le X !...

Tout le monde a déjà entendu parler des Rita Mitsouko. le duo formé de Catherine Ringer et Fred Chichin. Début des années 80, on a tous fredonné "Marcia Baïla" ou "Andy"... Pas vrai ?...
Ce que l'on sait peut-être moins, c'est que Catherine Ringer a exercé, pendant quelques années (1976-1982), une carrière d'actrice porno...
Parmi la vingtaine de films tournés à cette époque, je pense que les mateurs auront particulièrement remarqué l'une de ses toutes premières participations dans "La Fessée" du prolifique Burd Tranbaree.
"La Fessée" - Yvette Lemercier (Catherine Ringer), Antoine Fontaine et Charlie Schreiner

Dans ce film, Catherine (sous le pseudonyme de Yvette Lemercier) incarne une adolescente trop gâtée à qui son père offre les services de monsieur Léon, maître-fesseur, en guise de cadeau d'anniversaire...

Parmi sa filmographie, on retiendra également "Poker Show" de Joe De Palmer, "Provinciales en Chaleur" de Jean-Claude Roy, ainsi que "Lingeries Intimes", toujours de Jean-Claude Roy, où Catherine incarne une veuve en quête de sensations fortes dans un magasin de lingeries féminines...

"Lingeries Intimes " - Catherine Ringer, Dominique Saint-Claire et Christian Loussert.

Une question qui revient souvent dans les forums au sujet de la carrière de Catherine Ringer... Est-ce bien elle qui interprète la jeune élève de monsieur Mathieu (Richard Lemieuvre) dans "La Maison des Phantasmes" de Burd Tranbaree ?...
A vous de juger...

Pour en finir avec Catherine Ringer, deux extraits vidéos très célèbres... Tout d'abord, dans "Zénith", son face-à-face avec Serge Gainsbourg, en pleine forme comme toujours...

confrontation arrangée ou sincère ?...

Et cette émission de Mireille Dumas - "Sexy Folies" - ou Catherine parle sans tabous de son expèrience dans le cinéma porno et de sa vie amoureuse...

lundi 14 février 2011

La fin du monde vue par les frès Larrieu...

En 2009, Arnaud et Jean-Marie Larrieu réalisent une libre adaptation de roman de Dominique Noguez "Les Derniers Jours du Monde"...
Si le thème en est assez pessimiste (le fin du monde... Brrr !...), tout le film est parsemé de rencontres amoureuses et libertines...

Robinson (Mathieu Amalric) est marié avec Chloé (Karin Viard), mais il entretient une relation épisodique avec Laetitia (Omahyra Mota), une étrange beauté androgyne... Dans un climat de plus en plus apocalyptique, il rencontre Ombeline (Catherine Frot) qui lui avoue avoir été la maîtresse de son père...
Robinson, de son côté, a été l'amant de Théo (Sergi Lopez) un chanteur d'opéra, lequel retrouve sa fille Iris (Clotilde Hesme). Papa et fille passent une nuit d'amour avant que Théo ne se balance, à poil, par la fenètre de son hôtel...
L'occasion pour Sergi Lopez de nous faire admirer un virilité plus que convenable...

Après un périple en Espagne et une soirée orgiaque dans un château, Robinson regagne un Paris plongé dans l'obscurité... Il y retrouve Laetitia juste avant le clash final...
Film assez " cul " donc et à classer dans les meilleurs matages de l'année...


jeudi 10 février 2011

"Je t'aime moi non plus"... Jane et les garçons...

1976... Serge Gainsbourg se lance dans la réalisation cinématographique en mettant en scène Jane Birkin dans une histoire d'amour compliquée entre une serveuse de bar et un camionneur gay...

Un trou perdu... Au milieu de nulle part, un station essence et un snack-bar.... la serveuse Johnny (Jane Birkin, plus mignonne et androgyne que jamais...)... Arrive un couple de camionneurs, Krassky (Joe Dallessandro) et Padovan (Hugues Quester)... Bien que plutôt porté sur le sexe fort, Krassky succombe au charme trouble de notre petite serveuse... Laquelle n'est pas fâchée de trouver un beau mâle à se mettre sous la dent, vu qu'elle en a un peu marre de se chatouiller le clitoris le soir au fond de son lit...

Hélas, au moment de conclure, notre fringant camionneur se trouve en panne d'érection... Pas l'habitude des demoiselles je suppose ?... Seule solution : faire comme entre garçons !... Mais là, c'est Johnny qui n'aime plus... Aïe aïe !... La relation prend un bon coup dans l'aile... Johnny a beau faire des efforts, mettre une robe et tout et tout... Elle finira par se faire larguer, non sans avoir failli être étouffée par l'amant trompé et jaloux...

"Je t'aime moi non plus" restera sans doute le film le plus culte de Serge Gainsbourg et l'un des meilleurs rôles dans la carrière de Jane Birkin...

mercredi 9 février 2011

Début 70... Le porno débarque sur nos écrans !...

Venu, tout d'abord, des Etats-Unis, le porno débarque enfin sur nos érans dès le début des années 70...
1972 - Place à deux productions américaines restées célèbres entre toutes... je veux bien sûr parler de "Gorge Profonde" (Deep Throat) de Gerard Damiano avec l'inoubliable Linda Lovelace et "Derrière la Porte Verte" (Behind the Grenn Door) de Adrienne Mitchell et Artie James avec, dans le rôle principal, la très belle Marilyn Chambers...

" Derrière la Porte Verte "

Côté productions nationales, il faudra attendre 1975 pour voir "Exhibition" film-documentaire de Jean-François Davy avec Claudine Beccarie et surtout "Le Sexe qui Parle" de Claude Mulot (alias Frédéric Lansac). Je compte d'ailleurs vous parler, bientôt, plus longuement de ce film évènement...

" Le Sexe qui Parle "

1975 marque également les débuts à l'écran d'une certaine Brigittte Lahaie... Dont nous aurons certainement l'occasion de parler plus longuement...

" Vibrations Sexuelles" - 1976 - Michel Gentil (alias Jean Rollin)

lundi 7 février 2011

Vanessa Paradis... Des débuts cinématographiques très chauds...

Printemps 1987... La France entière fredonne "Joe le taxi" (si si... Je l'ai fais aussi..)... Vanessa Paradis, tout juste âgée de 14 ans, fait ses débuts remarqués dans le monde du show-bizz... Succès éphémère pensèrent certains, mais la petite s'accroche et sort tubes sur tubes : "Marilyn & John", "Maxou" et "Mosquito", pour ne citer que ceux-là...
1989... Premier film sous la direction de Jean-Claude Brisseau "Noces Blanches". Film dans lequel Vanessa - 17 ans - nous laissait entrevoir  une charmante anatomie, lors d'une séquence restée célèbre aux yeux des mateurs que nous sommes...
En quelques mots, le film nous raconte l'histoire d'amour entre un professeur (Bruno Crémer) et sa jeune élève... Histoire qui se termine tragiquement pour la demoiselle... Une sorte de remake de "Mourir d'aimer" en quelque sorte...

Quelques six ans plus tard, Vanessa nous offre une nouvelle séquence très déshabillée dans "Elisa" de Jean Becker...
Partie à la recherche de son géniteur (Gérard Depardieu) qu'elle croit responsable du suicide de sa mère, Marie le retrouve sur l'île de Sein...


Depuis, Vanessa Paradis mène, conjointement, ses carrières de chanteuse et d'actrice... Mais dans des rôles nettement moins dévêtus hélas...

vendredi 4 février 2011

Brigitte Bardot... La scandaleuse !...

Ce titre peut paraître excessif aux yeux des jeunes générations, et pourtant !...
Dans les années 60, notre BB nationale représentait à elle seule la luxure, la débauche (et j'en passe...)
Brigitte la scandaleuse que nous rêvions d'admirer sur grand écran alors que la plupart de ses films "osés" sortaient avec la fameuse mention "interdit aux moins de 18 ans".

Personnellement, j'adorais les prestations de Brigitte dans les rôles de nunuches, comme par exemple dans "La Bride sur le Cou" de Roger Vadim et Jean Aurel en 1961 ou "Une Ravissante Idiote" d'Edouard Molinaro en 1964, pour ne citer que ceux-là. Elle y était toujours ravissante de candeur et de naïveté. Tout le monde se souvient également de "Babette s'en va-t-en Guerre" de Christian-Jaque en 1959. Le face-à-face avec le terrible "papa Schulz" (Francis Blanche).

C'est vrai qu'elle était vraiment craquante notre Brigitte...

Quelques années plus tard, sous la direction de Roger Vadim, Brigitte nous offrait une superbe séquence très sensuelle en compagnie de Jane Birkin... C'était dans "Don Juan 73"... Les mateurs n'ont certainement pas oublié....


jeudi 3 février 2011

Cinoche mateur... C'est quoi ?...

Cinoche mateurs.... Nous le sommes tous plus ou moins... Non ?...
Je suis né il y a un peu plus de soixante ans (déjà !...) C'est donc dans les salles de cinéma de quartier que j'ai pu éprouver mes premiers émois d'adolescent à la vue d'une charmante demoiselle plus ou moins dénudée... A l'époque, dame censure sévissait et, si l'on pouvait espérer parfois apercevoir l'ombre d'un sein ou le galbe d'une hanche (air connu...), voire exceptionnellement une ravissante chute de rein, pas question de dévoiler ne serait-ce qu'un poil pubien...


Que de chemin parcouru depuis tout de même !...
Puis, au début des années 70 est apparu le porno... Et tout un chamboulement au niveau de la censure... Mai 68 était passé par là !... je me souviens encore de la représentation de "Exhibition", projeté dans la plus grande slle de la ville... Archicomble !... Quand on pense que le porno est maintenant réservé à la vidéo et à internet...


Si vous avez la patience de me suivre, je vais essayer de vous conter, au fil des messsages, toutes ces années de plaisirs cinéma(teur)tographiques...
A très bientôt